Au Pré, logements contre forêt urbaine : deux visions s’affrontent pour l’ex-usine Busso

La municipalité demande aux promoteurs de construire une centaine de logements à la place des anciennes salaisons. Une pétition, forte de 2000 signatures, réclame la création d’une « forêt urbaine ».


Pollution, Canicules ?

Bonnes nouvelles des arbres.
Reboiser près de 900 millions d’hectares sur la Terre réduirait de deux tiers notre empreinte carbone*.
L’Inde projette d’en planter 95 millions avant 2030.
Une fois de plus, le pays de Ghandi montre l’exemple !

Au Pré aussi, montrons l’exemple : plantons des arbres sur le demi hectare de la friche Busso…

Signons la pétition pour atteindre 4 000 signatures à la fin de l’automne !

https://www.tdg.ch/monde/planter-arbres-sauver-planete-simple/story/27815374


Face à l’effondrement, une forêt comestible et des jardins partagés naissent à Budapest

Après un an d’échanges avec des citoyen-ne-s, des élus locaux, des ingénieurs, des paysagistes, des ingénieurs, des ONG sur l’environnement, et des jardins communautaires : la première Forêt-Climat hongroise a commencé à prendre racine.


Le Pré en Transition sur Instagram

Busso vu d’en haut

Solastalgie ?

Le néologisme solastalgie désigne une forme de détresse psychique ou existentielle causée par les changements environnementaux, comme l’exploitation minière ou le changement climatique. On parle aussi d’écoanxiété ou d’angoisse climatique.
Ce mot été inventé en 2003 par le philosophe australien Glenn Albrecht, avec un premier article publié sur ce sujet en 2005. C’est une combinaison du mot latin sōlācium (consolation) et de la racine grecque -algia (douleur).
Source


Sans commentaire !

« L’homme peut-il se reconvertir de prédateur en jardinier ? »

Dans une tribune au « Monde », l’éthologue Pierre Jouventin et l’économiste Serge Latouche interrogent la capacité de l’homme à préserver l’équilibre entre les ressources naturelles et ses activités.

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Décoloniser notre imaginaire

La réalisation de tout projet alternatif de société passe donc plus par une révolution mentale que par la prise du pouvoir politique. Il s’agit d’abord de « décoloniser notre imaginaire », en d’autres termes de changer de valeurs, et donc de se désoccidentaliser pour initier et accompagner les transformations de nos modes de vie. Concrètement, il faut se réapproprier la gestion de la planète, en limitant le pouvoir des banques et des firmes transnationales, pour assurer notre survie.

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Pierre Jouventin – Serge Latouche