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La science a parlé : le climat s’est déréglé à cause de l’activité humaine. Ce dérèglement a un impact sur la planète et sur les hommes. Nous pouvons agir, nous devons le faire maintenant. Grâce à l’infographie produite par UNRIC ci-dessous, vous comprendrez mieux pourquoi et comment nous devons agir et l’importance de la 21ème conférence des Nations Unies sur le climat, qui se tiendra à Paris fin 2015 sous l’égide de la CCNUCC.
Pour une ville agréable à vivre, pourquoi ne pas utiliser les terrains en friche pour créer des Potagers de quartier ?
Nous avons identifié 3 terrains :
> RUES HENRI MARTIN / JACQUARD près de l’école Baudin
> RUES D’ESTIENNES D’ORVES / PAUL DE KOCK
> RUE BÉRANGER
Vous êtes intéressé-e par cette initiative ?
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Ouvrage Collectif
Date de parution : 03/06/2015
ISBN : 979-10-209-0285-6
40 pages
3.00 €
“S’engager c’est vivre pleinement”
Du 5 juin au 26 septembre, le grand tour de France Alternatiba part à la rencontre de plus d’un million de citoyens dans près de 200 villes.
A cette occasion, voici un opus de 40 pages, préfacé par Christiane Hessel, un ouvrage qui explique simplement comment chaque citoyen peut vivre dans une société véritablement alternative : plus écologique, plus juste, plus solidaire, plus conviviale, bref, une société plus désirable…
Si le XXIe siècle ne devait retenir qu’un seul défi, ce serait celui de la survie de la biosphère face au changement climatique.
L’Unep, les entreprises du paysage, avec l’ensemble des acteurs français du paysage, réunis au sein de l’Observatoire des Villes Vertes, souhaitent interpeller les élus et décideurs publics aux niveaux local, national et international, sur le potentiel largement sous-estimé du végétal et des jardins pour adapter l’humanité aux nouvelles conditions climatiques.
A l’heure où plus de la moitié de la population mondiale est constituée de citadins, les espaces de nature en ville ont un rôle déterminant à jouer pour atténuer les effets du réchauffement planétaire ! En l’intégrant de façon systématique dans les aménagements urbains, le végétal est à même d’apporter des solutions concrètes aux principaux enjeux climatiques.
A l’échéance 2060-2100, le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC) prévoit une augmentation moyenne de la température terrestre de 4°C. De quoi multiplier les épisodes caniculaires dans la plupart des villes du globe…
Parcs, promenades plantées, murs et toitures végétales : les végétaux jouent le rôle de « climatiseurs urbains ». Généralisons-les pour abaisser la température et recréer des « îlots de fraîcheur » en ville !
Le réchauffement climatique a doublé les risques d’épisodes de pluies extrêmes à la fin du XXe siècle. Or l’étalement urbain a pour effet d’imperméabiliser les sols, ce qui empêche l’eau de ruisseler et favorise les inondations.
Les végétaux contribuent au cycle naturel de l’eau. Créons des aménagements paysagers en ville pour éviter l’érosion et accroître les surfaces de sol « perméables ». Développons des bassins de rétention qui limiteront les risques d’inondations !
Les émissions de gaz à effet de serre explosent. L’humanité a rejeté 40 milliards de tonnes de CO2 en 2013*, alors que la biosphère ne peut en absorber que 10… Le phénomène est particulièrement concentré en ville, où le trafic et les activités humaines tendent à multiplier les rejets de particules, créant des “pics de pollution”.
Les arbres ont la capacité de piéger les gaz à effet de serre : 1 m3 de bois peut stocker 1 tonne de CO2. Dans le même temps, ils filtrent les particules polluantes. Pour améliorer la qualité de l’air, suivons l’exemple des villes pionnières qui ont adopté le réflexe « 1 habitant = 1 arbre » !
22 000 espèces animales et végétales sont menacées d’extinction dans le monde, en grande partie à cause du dérèglement climatique**. La France figure parmi les 10 pays qui en hébergent le plus grand nombre. Or les parcs et même les sols des jardins et espaces verts sont des réservoirs de biodiversité qui constituent un refuge pour la faune et la flore.
L’espace urbain ne doit pas être un obstacle à la mobilité des espèces : déployons de nouvelles trames vertes et bleues, gérées sans pesticides, pour maintenir une faune et une flore riches en ville et créer des continuités écologiques !
Les entreprises, collectivités et ménages français produisent chaque année 10 millions de tonnes de déchets végétaux***. Ces résidus de tontes ou d’élagages pourraient être compostés pour produire de l’engrais, réutilisés en paillages… ou revalorisés pour produire de l’énergie sous forme de biomasse.
Privilégions les circuits-courts et revalorisons les déchets verts à l’échelle locale !
L’investissement en faveur des espaces verts ne représente qu’1 % du budget des villes Françaises en moyenne****. Comment nos cités comptent-elles répondre à l’enjeu climatique dans ces conditions ?
La communauté internationale va se réunir en décembre à Paris, pour la COP21 : le sommet climatique, où des objectifs planétaires vont être fixés afin de limiter le réchauffement à 2°C, et tenter d’en atténuer les effets.
Mesdames et messieurs les représentant(e)s de la Terre, n’oubliez pas le rôle essentiel du végétal en zones urbaines, dans l’agenda des solutions climat !
Mesdames et messieurs les élu(e)s de France, aidez-nous à préserver les villes des effets du réchauffement climatique grâce aux jardins et espaces verts !
Végétalisons nos villes, nos toits, nos murs, nos espaces oubliés. Réintroduisons de la biodiversité en ville en limitant l’utilisation des pesticides. Plantons un arbre par habitant.
En un mot : donnons corps à la « ville végétale » de demain, bioclimatique et durable !
Catherine Muller, Présidente de l’Unep – les entreprises du paysage
Emmanuel Mony, Président de l’ELCA – European Landscape Contractors
Jean-Pierre Guéneau, Président d’Hortis – les responsables d’Espaces Nature en Ville
Patricia Savin, Présidente de l’Association Orée – Entreprises, Territoires et Environnement
Christophe Béchu, Président de Plante et Cité, Maire d’Angers et Sénateur de Maine-et-Loire
François Demazières, député-maire de Versailles, Président dugroupe jardin, horticulture et paysage de l’Assemblée Nationale
Pour soutenir l’action de l’Unep – les entreprises du paysage – en faveur des jardins et espaces verts en ville et l’Observatoire des Villes Vertes, signez la pétition et faites la connaître autour de vous !
#JardinspourleClimat
*Source : Global Carbon Project
**Source : Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)
***Source : Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME)
****Source : Palmarès Unep des villes vertes de France, 2014
Belle fréquentation pour le stand du Pré en Transition !
Les nombreux (-ses) visiteurs (-euses) ont manifesté un vif intérêt aux solutions locales proposées par l’Association pour lutter contre le réchauffement climatique et encourager un mieux-vivre ensemble.
Cette Web-BD « Ma Propre Energie » vise à retracer, de façon illustrée et ludique, les grandes étapes de l’histoire de l’énergie du point de vue du citoyen et qui constituent notre inconscient collectif autour de l’énergie.
En replaçant ces épisodes au fil du temps (évolutions techniques, décisions politiques, initiatives citoyennes, etc), chacun pourra comprendre d’où vient ce rapport particulier que les français entretiennent avec l’énergie et pourra choisir de s’impliquer personnellement dans une transition énergétique locale.
Créer de la richesse sans argent ?
La Chenille est UNE NOUVELLE ASSOCIATION GERVAISIENNE
qui, via l’économie du partage, les échanges de savoirs et de talents,
l’entraide et les synergies CRÉE LA VRAIE RICHESSE.
La Chenille est un RÉSEAU D’ÉCHANGE LOCAL de SAVOIRS, de COMPÉTENCES et de SERVICES au PRÉ ST-GERVAIS.
C’est une CHAINE DE PERSONNES qui s’aident, partagent, apprennent, échangent sans que jamais le moindre argent ne circule.
1 heure donnée, c’est 1 heure reçue.
Il n’y a pas de bénévolat, que des bonnes volontés récompensées,
de la convivialité et de l’interactivité.
C’est un VRAI RÉSEAU SOCIAL de proximité qui s’appuie sur les technologies mobiles et internet pour gérer les échanges.
Un réseau accessible aussi aux personnes non connectées, par celles qui le sont 🙂
Encore une belle occasion de parcourir une rue rendue aux piétons, pour la plus grande joie des enfants !
L’association le Pré en Transition y tiendra un stand !
La rue est à nous !
Samedi 6 juin 11h-19h30 // rue Béranger, Pré Saint-Gervais
Fête de quartier Rabelais-Stalingrad-7 Arpents
Bloquer une rue, interdire les voitures, installer un château gonflable, une barbe à papa, des musiciens et des tables pour partager un repas…Et la rue est à nous !…pour discuter, se rencontrer et palabrer autour d’un verre, pour voir les enfants courir, jouer et sauter. Le samedi 6 juin, la rue Béranger fait la fête.
Toute la journée concerts, scène ouverte, dj mix, jeux, barbecue, lecture pour enfants, bulle géante, barbe à papa et granita…
Apéro et repas partagé : à partir de 11h
Piñata: 15h30 et 16h30
Concert (Trio des bois): 17h30
Vous souhaitez participer à l’organisation, découvrir le collectif La rue est à nous, n’hésitez pas ! asso.larueestanous@gmail.com
Pourquoi mettre en place une monnaie locale au Pré-Saint-Gervais et sur tout le territoire de Est Ensemble ?
Site de La Pêche Monnaie locale et sa page Ressources
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