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Quelles sont les richesses et les ressources qui manquent le plus souvent aux populations ? Une alimentation saine et équilibrée, tout d’abord ; de l’eau potable de bonne qualité ; de l’air pur, de la lumière et de l’espace ; un logement salubre et agréable.
Mais l’évolution du PIB ne mesure rien de tout cela.
– André GORZ
vive les mauvaises herbes !
Et si on gardait les mauvaises herbes qui poussent le long de nos trottoirs ?
Frédérique Soulard, Belles de bitume
L’association le Pré en Transition
en 2 dates : 2014 > 2016L’Association en 2014
L’Association en 2016
CUMUL DE NUISANCES ET POLLUTIONS ENVIRONNEMENTALES
AU PRÉ-ST-GERVAIS
25 personnes,
3 possibilités
Photo des Jardins potagers, quai d’Auteuil (actuel quai Louis Blériot), en face le pont de Grenelle et la statue de la Liberté © Musée Albert-Kahn
Durant la seconde moitié du XIX° siècle, les maraîchers parisiens ont pu nourrir la population de la capitale avec une production légumière – forcément biologique – d’une qualité et d’une diversité exceptionnelles. 6 % de la surface de la capitale intra-muros, soit 600 hectares environ, était consacré au maraîchage, avec des parcelles de 4000 m2 en moyenne et un travailleur pour 1000 m2. Les maraîchers parisiens étaient arrivés au sommet de leur art, produisant toute l’année grâce aux couches chaudes et atteignant 8 récoltes par an ! Les couches chaudes permettaient de produire des salades en janvier et des melons et concombres dès le mois de mai. Ils exportaient même à Londres. En 1905 un groupe de maraîchers britanniques effectua un voyage d’étude dans la capitale et commença à populariser dans le monde anglo-saxon le « French market garden system ».
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