Étiquette : compost (Page 2 of 3)

Le composteur collectif square Ed. Pépin est ouvert !

Le Composteur collectif a été inauguré le samedi 21 mai.
Une trentaine de familles sont déjà inscrites.

Les horaires d’ouverture :
Mercredi/jeudi matin de 8h30 à 12h
Les composteurs sont maintenant en accès libre (aux horaires d’ouverture du square).
Rencontrez des membres de l’Association les samedis matins (entre 10 et 12h).

Merci au Pouce Vert pour l’amorce de compost,
merci à la Grande Bricole pour l’animation
et merci à l’équipe municipale, et notamment Laure Michelou, Anna Angeli et Yoan Bonnefoy, pour l’organisation.

Vous pouvez encore vous inscrire et demander un bio-seau en complétant ce formulaire.

Pour toute question concernant ce composteur collectif, contactez-nous à cette adresse : compost [@] lepreentransition.fr

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Photos Raphaël Daniel.

Inauguration Composteur collectif du square Edmond Pépin

Vous avez envie de vous lancer dans l’aventure du compostage ?

Retrouvez-nous samedi 21 mai dès 10h au square Edmond Pépin pour l’inauguration du premier Composteur collectif municipal.

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Actions pour la Transition au Pré

Nous reproduisons ci-après le document in extenso remis à l’équipe municipale lors d’une première réunion le 17 septembre 2015.

Etaient présents à cette réunion

Pour la Mairie :
– Gérard Cosme, Maire du Pré-Saint-Gervais
– Anna Angeli 5e adjointe au Maire. Projet éducatif, Parentalité – Développement durable – Numérique – Politique de la Ville
– Nicola Tirot, directeur de cabinet du Maire

Pour l’Association le Pré en Transition :
– Christophe Antiphon
– Marie-Georges Guerineau
– Sophia Lamri
– Olivier Nouvian

 Télécharger le PDF

Notes de travail
réunion du 17 septembre 2015

 

CONTEXTE

L’association Le Pré en Transition.

Bilan après 1 an d’existence. Participation à de nombreux événements au Pré (soupe Transition, vide-grenier, fête de la Transition et “la rue est a nous”). Dialogues avec habitant.e.s aux profils très variés. Accueil très positif des Gervaisien.ne.s. Constat : fin du déni concernant le réchauffement climatique (épisodes et pics de pollution, de canicules…). Les habitant.e.s s’engagent concrètement (2 AMAP au Pré, gestion du jardin partagé et du compost par le Pouce vert, la Chenille réseau d’échange local, un ReparCafé qui s’organise…).

>> La Transition est en marche au Pré !

 

CHANGEMENT CLIMATIQUE : épisodes caniculaires, dégradation des ressources en eau, inondations et mouvements de terrain, pollution.

PIC PÉTROLIER : dépendance aux énergies fossiles.

>> Urgence à agir face à une perspective d’”effondrement”. Un changement de paradigme est inévitable.

 

Nécessaire mobilisation des acteurs locaux (municipalité, associations…) face au réchauffement climatique et au pic pétrolier. Changement de paradigme, un engagement par des actions concrètes. En cohérence avec le programme de l’Agenda 21 et le Plan Climat Energie Territorial (PCET). L’Association peut jouer un rôle de “facilitateur”.

>> Pour une ville résiliente et agréable à vivre.

 

Vidéo d’Ungersheim, village en Transition.

 

action #1 : Transports et déplacements doux.

Enjeux : Le secteur du transport premier poste d’émission de Gaz à Effet de Serre (GES) sur le territoire (Est-Ensemble). Lutter contre la pollution et le stress (nuisances sonores, embouteillage). Favoriser les déplacements doux pour une ville plus agréable à vivre. Action n°14 de l’Agenda 21.

  • Passer la “place Danton” et la rue André Joineau en zone de rencontre (20 km/h).
  • Priorité à donner aux rues avec écoles et rues commerçantes pour installer les limitations de vitesse.
  • Rendre aux piétons temporairement des rues (avec installation de bancs et tables, animations, jeux).
  • Toute la ville avec vitesse limitée à 30 km/h. Communiquer sur les bienfaits d’une vitesse réduite (pollution/économies/sécurité). Sensibiliser : qualité de l’air sur panneaux lumineux.
  • Le vélo comme levier essentiel pour diminuer la place de la voiture. Mettre en place un “plan vélo” : parkings collectifs sécurisés, aide à l’achat de vélo électrique, campagne de marquage antivol.
  • Ateliers participatifs de réparation de vélos.

 

action #2 : Énergie.

Enjeux : pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique recourir à des énergies renouvelables (qui émettent moins de Gaz à Effet de Serre) et accompagner cette démarche d’un plan d’économie d’énergies.

  • Passage progressif pour les bâtiments de la ville à un fournisseur d’électricité à base d’énergies 100% renouvelables (Enercoop).
  • Un plan d’économie d’énergie pour compenser l’augmentation du coût. (réduire l’éclairage public et municipal, ou bien, par exemple, supprimer les éclairages de Noël comme à Ungersheim). « L’énergie la moins chère est celle qu’on ne consomme pas.» Quid de recourir à un “économe de flux” (comme à Montreuil) chargé de détecter et de résoudre les déperditions et utilisations inutiles d’énergie sur le territoire ?
  • Choisir un ou des bâtiments emblématiques (Mairie, gymnase, école) afin de communiquer sur la source d’énergie renouvelable. Message type : “Toute l’électricité consommée dans cette école est d’origine 100% renouvelable”.
  • Étendre l’opération des “familles à énergie positive” à une école.
  • Quid d’installer des panneaux solaires (production électrique ou eau chaude) sur le toit des écoles et bâtiments administratifs ? si problème de budget, quid de recourir (en complément) à une épargne collaborative (cf. http://energie-partagee.org/) ?
  • Impliquer les habitant.e.s pour repérer les éclairages publics inutiles et autres sources d’économie. Un numéro de téléphone ou une adresse email dédiés ?
  • Favoriser l’amélioration de l’isolation thermique des logements existants. 25% à 30% de la population présente un risque de précarité énergétique (+10% du budget familial consacré à l’énergie).

 

action #3 : Manger autrement.

Enjeux : L’alimentation représente 24% du bilan carbone du territoire (Est-Ensemble). L’alimentation a des impacts multiples : empreinte écologique des modes de productions agricoles (pollution des sols, santé). Résilience. Economie locale. Gaspillage. Gestion des déchets.

  • 1 repas “sans protéines animales” par semaine en restauration collective : l’élevage comme source importante du réchauffement climatique et de la déforestation.
  • État des lieux au Pré : sur les 4 derniers mois (mai-août), les menus de cantine comportent systématiquement 2 repas « bio » (avec viande ou poisson) et 1 repas « alternatif » (annoncés « sans protéines animales » – à noter, en juin, un autre repas non étiqueté était végétarien).
  • Le menu végétarien est en cours de développement à Paris avec un Plan d’alimentation durable (2015-2020) qui vient d’être adopté par la Ville de Paris (1er juillet 2015) : réduction “de 20%  de la part carnée des repas en proposant un menu végétarien par semaine”.
  • Introduire des ingrédients ou des produits systématiquement bio et locaux (meilleure gestion des filières – Par exemple, n’utiliser que des carottes bio et locales).
  • Quid d’une cuisine centrale sur Est-Ensemble ? soutenir la démarche de l’association “Pas d’usine, on cuisine” (cf. Page FB)
  • Accompagner la démarche d’un projet pédagogique mettant en avant les circuits courts, des cours de cuisine “santé”.

 

action #4 : Une ville végétale et comestible.

Enjeux : la nature en ville contribue à lutter contre les îlots de chaleur, à absorber les émissions de Co2 et à rendre la ville plus agréable à vivre.

  • Lutter contre les îlots de chaleur (cf article du site PSGT).
  • Espaces innovants : Jardin partagé le Pouce vert ; murs et toits ; “coins verts” : petits espaces dans la rue (trottoir et/ou rue) par exemple plots béton pour éviter le stationnement (cf. Annexe exemples de Montreuil). Actions n°15 – 61 de l’Agenda 21.
  • Lister les murs et toits qui pourraient être végétalisés. Révision du PLU dans ce sens pour les nouvelles constructions. Action n°6 de l’Agenda 21.
  • Sanctuariser les friches en espaces verts (îlots de fraîcheur) pour créer des lieux de convivialité : potagers de quartier (cf. Annexe et article site web). Action n°3 de l’Agenda 21.
  • Exemple de Paris : “permis de végétaliser” (pieds d’arbres).
  • Planter des arbres fruitiers ; bacs à légumes en libre-service. Pour une ville fleurie ET comestible.

 

action #5 : Une démarche “zéro-déchets”.

Enjeux : les ordures ménagères représentent 83% des déchets sur Est-Ensemble. Économiser les ressources naturelles en réduisant la production de déchets. Réduction à la source (moins d’emballage, moins de gaspillage alimentaire, moins de sacs plastiques…). Réemploi, la réparation, la revente, le don des objets pour prolonger leur vie. Recyclage pour donner une nouvelle vie aux matières.

  • Perfectionner et étendre la démarche de Est-Ensemble autour du compostage (fourniture de bacs à compost, lombricomposteurs, formation…).
  • Étendre le réseau des bacs à compost (équiper tous les squares par exemple) en impliquant le personnel communal dédié aux espaces verts (formation de Maître composteur). Action n°60 de l’Agenda 21.
  • Bacs à compost pour les bio-déchets du Marché.
  • Bacs à compost dans les écoles (les enfants pourraient y déposer les déchets de la maison). Action n°48 de l’Agenda 21.
  • Actions de sensibilisation au Marché.
  • Déchets verts : fournir des sacs et organiser la collecte. Consigne de bouteilles en plastique. (Déchetterie mobile?)
  • Interdiction des sacs plastiques (cf. dossier déposé auprès de l’ADEME pour la sensibilisation).
  • Initiative Zéro-déchet (exemple de Roubaix).

 

action #6 : Relocaliser.

Enjeux : organiser la résilience d’un territoire passe par une relocalisation de l’économie, un renforcement des liens entre les habitants.

  • Déployer la Pêche (monnaie locale de Montreuil) au Pré et sur Est-Ensemble. (Cf. Annexe et article site PSGT). Action n°35 de l’Agenda 21.
  • Des aides sociales pourraient se faire en Pêche.
  • Favoriser les circuits-courts. Panier AMAP pour les employés communaux et élus ? Action n°53 de l’Agenda 21.
  • Local permanent pour héberger différentes activités associatives (café associatif, bricothèque, RéparCafé, espace troc, distribution AMAP, coopérative d’achat, expo…). Action n°40 de l’Agenda 21.
  • Mettre en place un Tiers-lieu permettant aux Gervaisien.ne.s d’améliorer leur qualité de vie en travaillant dans la commune (transports doux moins stressants, temps libre pour les enfants, travailler ensemble autrement…) (Cf. Annexe et article site PSGT)
  • Quid d’un local au rez-de-chaussée de l’immeuble construit sur l’îlot Danton ?

 

action #7 : Autour du Bien/Mieux Vivre.

Enjeux : et si la solution au Vivre Ensemble passait par le Bien (ou Mieux) Vivre ?

  • Proposer des ateliers éducatifs dans les écoles en lien avec le jardin partagé (jardinage, compost, bio-diversité), avec l’alimentation (bien manger, connaître les légumes, contre la junk food, cuisiner). Action n°29 de l’Agenda 21.
  • Créer de la convivialité à une échelle hyper-locale (la rue) : repas, jeux en bois pour les enfants.
  • Mettre en place des supports de communication pour valoriser et relayer les initiatives de Transition. Par exemple, un encart Transition dans chaque PréVoir (avec emplacement et nombre de signes garantis).
  • Proposer un budget participatif sur une thématique engageante. (exemple de Montreuil).

 

L’association le Pré en Transition peut favoriser l’implication des habitant.e.s et des associations dans ces différentes initiatives en effectuant un travail d’accompagnement.

> Organiser régulièrement des Rencontres conviviales et ouvertes à tous sur ces thématiques (projection film, discussion…). Promouvoir des actions individuelles et collectives.

> Eco-roulotte pour une présence sur le terrain (au Marché, lors d’événements…).

> Une mini-conférence climat/Transition au Pré à la P’tite Criée :

– être en résonance avec la COP21 qui se tiendra à quelques kilomètres

– montrer l’engagement de la commune

– continuer cette mission de sensibilisation (panneaux, soupe, conférence…)

Références

Références à l’Agenda 21

Le Plan Climat Air Energie Territorial d’Est Ensemble.

 

Annexes

Coup de pouce pour le Pouce vert

Toute l’histoire du Jardin partagé du Pouce Vert jusqu’aux dernières actualités.
Un jardin en danger !

Reportage réalisé par Graine de Jardins – Projection-débat sur les jardins menacés en Ile-de-France.

 

Des potagers partagés au Pré

Pour une ville agréable à vivre, pourquoi ne pas utiliser les terrains en friche pour créer des Potagers de quartier ?

Nous avons identifié 3 terrains :

> RUES HENRI MARTIN / JACQUARD près de l’école Baudin

> RUES D’ESTIENNES D’ORVES / PAUL DE KOCK

> RUE BÉRANGER

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Vous êtes intéressé-e par cette initiative ?
Remplissez ce Formulaire (sans engagement).

 

Des jardins pour le climat !

Si le XXIe siècle ne devait retenir qu’un seul défi, ce serait celui de la survie de la biosphère face au changement climatique.

L’Unep, les entreprises du paysage, avec l’ensemble des acteurs français du paysage, réunis au sein de l’Observatoire des Villes Vertes, souhaitent interpeller les élus et décideurs publics aux niveaux local, national et international, sur le potentiel largement sous-estimé du végétal et des jardins pour adapter l’humanité aux nouvelles conditions climatiques.

A l’heure où plus de la moitié de la population mondiale est constituée de citadins, les espaces de nature en ville ont un rôle déterminant à jouer pour atténuer les effets du réchauffement planétaire ! En l’intégrant de façon systématique dans les aménagements urbains, le végétal est à même d’apporter des solutions concrètes aux principaux enjeux climatiques.

 

A l’échéance 2060-2100, le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC) prévoit une augmentation moyenne de la température terrestre de 4°C. De quoi multiplier les épisodes caniculaires dans la plupart des villes du globe…

Parcs, promenades plantées, murs et toitures végétales : les végétaux jouent le rôle de « climatiseurs urbains ». Généralisons-les pour abaisser la température et recréer des « îlots de fraîcheur » en ville !

Le réchauffement climatique a doublé les risques d’épisodes de pluies extrêmes à la fin du XXe siècle. Or l’étalement urbain a pour effet d’imperméabiliser les sols, ce qui empêche l’eau de ruisseler et favorise les inondations.

Les végétaux contribuent au cycle naturel de l’eau. Créons des aménagements paysagers en ville pour éviter l’érosion et accroître les surfaces de sol « perméables ». Développons des bassins de rétention qui limiteront les risques d’inondations !

Les émissions de gaz à effet de serre explosent. L’humanité a rejeté 40 milliards de tonnes de CO2 en 2013*, alors que la biosphère ne peut en absorber que 10… Le phénomène est particulièrement concentré en ville, où le trafic et les activités humaines tendent à multiplier les rejets de particules, créant des “pics de pollution”.

Les arbres ont la capacité de piéger les gaz à effet de serre : 1 m3 de bois peut stocker 1 tonne de CO2. Dans le même temps, ils filtrent les particules polluantes. Pour améliorer la qualité de l’air, suivons l’exemple des villes pionnières qui ont adopté le réflexe « 1 habitant = 1 arbre » !

22 000 espèces animales et végétales sont menacées d’extinction dans le monde, en grande partie à cause du dérèglement climatique**. La France figure parmi les 10 pays qui en hébergent le plus grand nombre. Or les parcs et même les sols des jardins et espaces verts sont des réservoirs de biodiversité qui constituent un refuge pour la faune et la flore.

L’espace urbain ne doit pas être un obstacle à la mobilité des espèces : déployons de nouvelles trames vertes et bleues, gérées sans pesticides, pour maintenir une faune et une flore riches en ville et créer des continuités écologiques !

Les entreprises, collectivités et ménages français produisent chaque année 10 millions de tonnes de déchets végétaux***. Ces résidus de tontes ou d’élagages pourraient être compostés pour produire de l’engrais, réutilisés en paillages… ou revalorisés pour produire de l’énergie sous forme de biomasse.

Privilégions les circuits-courts et revalorisons les déchets verts à l’échelle locale !

 

L’investissement en faveur des espaces verts ne représente qu’1 % du budget des villes Françaises en moyenne****. Comment nos cités comptent-elles répondre à l’enjeu climatique dans ces conditions ?

La communauté internationale va se réunir en décembre à Paris, pour la COP21 : le sommet climatique, où des objectifs planétaires vont être fixés afin de limiter le réchauffement à 2°C, et tenter d’en atténuer les effets.

Mesdames et messieurs les représentant(e)s de la Terre, n’oubliez pas le rôle essentiel du végétal en zones urbaines, dans l’agenda des solutions climat !

 Mesdames et messieurs les élu(e)s de France, aidez-nous à préserver les villes des effets du réchauffement climatique grâce aux jardins et espaces verts !

 Végétalisons nos villes, nos toits, nos murs, nos espaces oubliés. Réintroduisons de la biodiversité en ville en limitant l’utilisation des pesticides. Plantons un arbre par habitant.

 En un mot : donnons corps à la « ville végétale » de demain, bioclimatique et durable !

 

Catherine Muller, Présidente de l’Unep – les entreprises du paysage

Emmanuel Mony, Président de l’ELCA – European Landscape Contractors

Jean-Pierre Guéneau, Président d’Hortis – les responsables d’Espaces Nature en Ville

Patricia Savin, Présidente de l’Association Orée – Entreprises, Territoires et Environnement

Christophe Béchu, Président de Plante et Cité, Maire d’Angers et Sénateur de Maine-et-Loire

François Demazières, député-maire de Versailles, Président dugroupe jardin, horticulture et paysage de l’Assemblée Nationale

Pour soutenir l’action de l’Unep – les entreprises du paysage – en faveur des jardins et espaces verts en ville et l’Observatoire des Villes Vertes, signez la pétition et faites la connaître autour de vous !

#JardinspourleClimat

 

*Source : Global Carbon Project
**Source : Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)
***Source : Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME)
****Source : Palmarès Unep des villes vertes de France, 2014

 

Pour signer la pétition.

Le Pré est en Transition !

Malgré une météo légèrement capricieuse, vous avez été nombreux à venir à cette première édition de la Transition en Fête ! Merci à vous ! Cela a été l’occasion d’apprécier une rue Danton rendue aux piétons – pour la plus grande joie des enfants – et de découvrir les différents ateliers proposés.

REMERCIEMENTS :
Ville du Pré, et plus particulièrement Aline Girard, Oliver Bourgeois et toute l’équipe, Est Ensemble et l’ADEME nos soutiens.
Les AMAP le Pré Vert (Ferme de Marconville) et la Marmite sauvage, le Vélo-Manège, les Fourmis vertes, la Pêche, Emmaüs, CyclOfficine, Désiré Prunier, Gloria Massana, les associations Le Pouce vert, En attendant la lune, La Paille et le Mil, Idées à coudre, les musiciens (baroque : Leila Pradel et Sylvain Cheng ; jazz : Tom Nouvian et Alois Sandoz ; jazz manouche : Raphael et Benoit Vincent du groupe Aälma Dili) et ATTAC (pour le joli panneau).

Un grand merci aux commerçants du marché pour leur généreuse participation en légumes sans qui il n’y aurait pas eu de soupe et aux Fines Fourchettes qui nous a prêté le matériel pour les cuire !

 

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La Transition en fête !
11 avril 2015

Avec #FilTransition et #TransitionFete à suivre tout au long de la journée sur le compte Twitter du Pré en Transition

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Demandez le programme !

Le programme complet de la Transition en fête ! (PDF)

Samedi 11 avril de 10h à 18h ! Rue Danton (face au Marché couvert jusqu’au jardin partagé).
Gratuit et ouvert à tous ! Venez nombreux découvrir des initiatives de Transition !

 

ProgrammeTransitionFete

 

 

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