Planche remis à Gérard Cosme, Maire du Pré-Saint-Gervais lors de notre réunion du 17 septembre.
Soutenons R-URBAN, une initiative professionnelle et citoyenne devenue référence internationale en matière de résilience urbaine, et convainquons la Mairie de Colombes et les autres autorités publiques de l’intérêt général de préserver ce projet dont le site principal sur la ville de Colombes risque d’être affecté bientôt à un parking temporaire.
R-URBAN a été initié par l’association Atelier d’Architecture Autogérée (AAA) avec l’objectif de créer des opportunités pour les citoyens de changer leur mode de vie et de développer des activités résilientes: préservation de ressources, recyclage, dépollution sur place des eaux usées, économie sociale et solidaire, éco-construction, agriculture urbaine, habitats partagés écologiques, transports doux, réduction d’émission de C02, etc.
A partir de 2009, AAA a développé différents partenariats pour initier et financer les premières unités de résilience urbaine à Colombes (92) dans le cadre d’un projet Life+ de la Commission Européenne pour la gouvernance environnementale. Les partenariats du projet incluent la Mairie de Colombes (240.000€), Public Works et AAA qui a réussi à mobiliser des financements de plus de 1.240.000€ (Ministère de l’Écologie, Communauté Européenne, Conseil Régional Ile-de-France, Conseil Départemental 92, Fondation de France, etc.)
En 2013 nous avons finalisé les premières Unités R-URBAN à Colombes: Agrocité (Unité d’agriculture urbaine et de pédagogie environnementale) et Recyclab (Unité de recyclage, ESS et éco-construction). Actuellement, quelques centaines d’usagers développent des activités régulières (maraîchage, apiculture, école du compost, poulailler, AMAP, recyclage de déchets locaux, éco-design, réduction de déchets organiques, etc.). Une dizaine de personnes ont pu être salariées de façon permanente ou temporaire sur ce projet. Le bilan écologique est impressionnant : réduction par 6 fois des émissions de CO2/an des usagers de l’Agrocité, 24t/an de déchets organiques recyclés, 50t/an réduction consommation d’eau, 3t/an production locale de légumes bio, etc.
Par leur caractère novateur et pionnier, l’Agrocité et Recyclab attirent de nombreux visiteurs (professionnels, municipalités, étudiants, promoteurs, chercheurs, etc.) venant des communes voisines mais aussi d’autres villes de France, d’Europe et d’autres continents (Harvard GSD, MIT, UCL Londres, U Sheffield, U West Sydney, Municipalité de Séoul, Municipalité de Montréal, MoMA New York, etc). De même que Fribourg, BedZed, Hamarby, R-Urban Colombes est devenu actuellement une référence en matière de résilience urbaine, la démarche de AAA étant consacré par des nombreux prix internationaux : Zumtobel, Curry Stone, EIB Social Innovation, Prix Européen de l’Espace Public, etc).
Pour avancer vite et expérimenter l’implémentation de ce type d’activités pionnières, les deux unités ont été développées sur des terrains municipaux disponibles de manière temporaire. Les bâtiments des deux unités sont relocalisables à moyen terme dans le cas ou des projets municipaux de plus grande envergure apparaitraient sur ces sites. Ces terrains ont été proposés par la Municipalité qui s’était engagée fermement dans le cadre du contrat Life+ d’assurer la dissémination et la durabilité du projet.
De façon inattendue, après les élections de mars 2014 et le changement d’équipe municipale, la Mairie de Colombes, partenaire du projet Européen en cours, a demandé en juin 2014, sans motivation, le départ de l’Agrocité de Colombes. Actuellement, le départ a été reporté pour septembre 2015 avec la motivation d’installer un parking privé temporaire pour 2 ans. Cette décision est d’autant plus paradoxale que, après ces 2 ans proposés pour le parking, le terrain sera de nouveau inutilisé au moins jusqu’en 2018. AAA a répertorié plusieurs terrains disponibles aux alentours et propose l’installation du parking temporaire sur un terrain vide en permettant ainsi de continuer le développement de l’Agrocité avant une relocalisation possible si un projet durable le nécessite. Sans raison concrète, la Mairie demande également de déménager Recyclab avant 30 septembre 2015 !
Nous avons deux mois pour sauver R-URBAN et convaincre la Mairie et les autres autorités de l’intérêt général de préserver l’Agrocité et Recyclab et de préparer des nouveaux sites pour une relocalisation future convenable sur la ville de Colombes, quand des nouveaux projets durables seront actés.
Au delà de R-URBAN Colombes, il s’agit de créer une plateforme pour les bonnes pratiques d’écologie urbaine, de retissage social, de création d’emploi et de renforcement de l’économie locale, de réduction des déchets et de la pollution, de lutte contre le changement climatique, de préservation de la biodiversité, de développement de la résilience citoyenne, etc.
En signant notre pétition, vous soutenez une autre manière de concevoir et pratiquer la ville. Ensemble nous espérons ainsi de réussir à faire entendre d’autres initiatives citoyennes et professionnelles au delà des intérêts de court terme qui affecte gravement le durabilité de nos milieux de vie.
Pour soutenir R_URBAN, en plus de signer cette pétition, vous pouvez aussi:
– diffuser cette campagne
– demander à vos amis de la soutenir par les médias
– écrire des lettres/emails de soutien (adressées au Maire du Colombes, et copie à AAA)
– signer la Charte et joindre le réseau R-Urban
Suivez l’actualité R-URBAN sur :
#saveRURBAN / @rurban_
Pétitions :
Campagne Change.org
Nous vivons dans une civilisation où la domination de l’intérêt (personnel et/ou matériel) du calcul (dont les chiffres ignorent le bonheur et le malheur) du quantitatif (PIB, croissance, statistiques, sondages) de l’économique, est devenu hégémonique. Certes, il existe de très nombreux oasis de vie aimante, familiale, fraternelle, amicale, ludique qui témoignent de la résistance du vouloir bien vivre ; la civilisation de l’intérêt et du calcul ne pourront jamais les résorber. Mais ces oasis sont dispersés et s’ignorent les uns les autres. Toutefois, des symptômes d’une civilisation qui voudrait naitre, civilisation du bien vivre, bien qu’encore dispersés, se manifestent de plus en plus.
Notons, sur le plan économique, l’économie sociale et solidaire où renait l’élan des mutuelles et coopératives, les banques à micro-crédit, l’économie participative, l’économie circulaire, le télé travail, l’économie écologisée dans la production d’énergie, la dépollution des villes, l’agro-écologie prônée par Pierre Rabbi et Philippe Desbrosses, qui nous indiquent la voie d’un refoulement progressif d’une économie vouée au seul profit.
Ainsi seraient progressivement refoulées, sur le plan vital de l’alimentation, l’agriculture industrialisée (immenses monocultures qui stérilisent les sols et toute vie animale, porteuses de pesticides et fournisseuses de céréales, légumes, fruits standardisés privés de saveur) l’élevage industrialisés en camps de concentrations pour bovins, ovins, volailles nourris de déchets, engraissés artificiellement et surchargés d’antibiotiques) Ce qui serait en même temps la progression d’une agriculture et d’un élevage fermiers ou bios, qui, avec le concours des connaissances scientifiques actuelles, revitaliserait et repeuplerait les campagnes et fournirait aux villes une nutrition saine.
Le développement des circuits courts, notamment pour l’alimentation, via marchés, Amaps, Internet, favorisera nos santés en même temps que la régression de l’hégémonie des grandes surfaces, de la conserve non artisanale, du surgelé.
Sur le plan social et humain, la nouvelle civilisation tendrait à restaurer des solidarités locales ou instaurer de nouvelles solidarités (comme la création de maisons de la solidarité dans les petites villes et les quartiers de grande ville).
Elle stimulerait la convivialité, besoin humain premier qu’inhibe la vie rationalisée, chronométrée, vouée à l’efficacité. Ivan Ilitch avait annoncé dès 1970 ce besoin de nouvelle civilisation et le mouvement convivialiste, animé par Alain Caillé répand le message en France et au-delà de nos frontières.
Il s’agit d’un élément majeur pour une réforme existentielle. Nous devons reconquérir un temps à nos rythmes propres, et n’obéissant plus que partiellement à la pression chronométrique. Le slow food, mouvement de fond lancé par Pertini pour réduire la fast food, et restaurer les plaisirs gastronomiques, s’accompagne d’une réforme de vie qui alternerait les périodes de vitesse (qui ont des vertus enivrantes) et les périodes de lenteur (qui ont des vertus sérénisantes). Nous obéirions successivement aux deux injonctions qu’exprime excellemment la langue turque : Ayde (allons, pressons), Yawash (doucement, mollo).
La multiplication actuelle des festivités et festivals nous indique clairement nos aspirations à une vie poétisée par la fête et par la communion dans les arts, théâtre, cinéma, danse. Les maisons de la culture trouvent de plus en plus une vie nouvelle.
Nos besoins personnels ne sont pas seulement concrètement liés à notre sphère de vie. Par les informations de presse, radio, télévision nous tenons, parfois inconsciemment, à participer au monde. Ce qui devrait accéder à la conscience, c’est notre appartenance à l’humanité, aujourd’hui interdépendante et liée dans une communauté de destin planétaire. Le cinéma, qui a cessé d’être un produit d’Occident seul, nous permet de voir des films iraniens, coréens, chinois, philippins, marocains, africains et, dans la participation psychique à ces films, de ressentir en nous l’unité et la diversité humaine.
La réforme de la consommation serait capitale dans la nouvelle civilisation. Elle permettrait une sélection éclairée des produits selon leurs vertus réelles et non les vertus imaginaires des publicités (notamment pour la beauté, l’hygiène, la séduction, le standing) qui opérerait la régression des intoxications consuméristes (dont l’intoxication automobile). Le gout, la saveur, l’esthétique guideraient la consommation, laquelle en se développant, ferait régresser l’agriculture industrialisée, la consommation insipide et malsaine, et par là la domination du profit capitaliste.
Alors que les producteurs que sont les travailleurs ont perdu leur pouvoir de pression sur la vie de la société, les consommateurs, c’est-à-dire l’ensemble des citoyens, ont acquis un pouvoir qui faute de reliance collective, leur est invisible, mais qui pourrait une fois éclairé et éclairant, déterminer une nouvelle orientation non seulement de l’économie (industrie, agriculture, distribution) mais de nos vies de plus en plus conviviales
Par ailleurs, la standardisation industrielle a créé en réaction un besoin d’artisanat. La résistance aux produits à obsolescence programmée (automobiles, réfrigérateurs, ordinateurs, téléphones portables, bas, chaussettes, etc) favoriserait un néo-artisanat. Parallèlement l’encouragement aux commerces de proximité rehumaniserait considérablement nos villes. Tout cela provoquerait du même coup une régression de cette formidable force techno-économique qui pousse à l’anonymat, à l’absence de relatons cordiales avec autrui, souvent dans un même immeuble.
Enfin une réforme des conditions du travail serait nécessaire au nom même de cette rentabilité qui aujourd’hui produit mécanisation des comportements, voire robotisation, burn out, chômage qui ont diminué en fait la rentabilité promue.
En fait la rentabilité peut être obtenue, non par la robotisation des comportements mais par le plein emploi de la personnalité et de la responsabilité des salariés. La réforme de l’Etat peut être obtenue, non par réduction ou augmentation des effectifs, mais par débureaucratisation, c’est à dire communications entre les compartimentés, initiatives, et relations constantes en feed back entre les niveaux de direction et ceux d’exécution.
Enfin, la nouvelle civilisation demande une éducation où serait enseignée la connaissance complexe, qui percevant les aspects multiples, parfois contradictoires d’un même phénomène ou même individu, permet une meilleure compréhension d’autrui et du monde. La Compréhension d’autrui serait elle même enseignée, de façon à réduire cette peste psychique qu’est l’incompréhension, présente en une même famille, un même atelier, un même bureau. Y seraient enseignées les difficultés de la connaissance, qui comporte risque permanent d’erreur et d’illusion, y serait enseignée la complexité humaine. Bref une réforme radicale à tous niveaux de l’éducation permettrait à celle ci d’enseigner à vivre autonome, responsable, solidaire, amical.
Comme les pièces dispersées au hasard d’un puzzle, les ferments premiers de la nouvelle civilisation travaillent ici et là, font ici et là lever la pâte nouvelle. Les besoins inconscients d’une autre vie commencent alors à passer à la conscience. Des oasis de convivialité, de vie nouvelle se sont créés, parfois c’est une municipalité animée d’un nouvel esprit, comme à Grenoble qui anime le mouvement. En vérité la civilisation du bien vivre aspire à naitre, sous des formes différentes, déjà sous ce label en Equateur où existe un ministère du bien vivre.
Ce sont des petits printemps qui bourgeonnent, et qui risquent la glaciation ou le cataclysme. Avant la guerre, c’était sur le plan des idées qu’une nouvelle civilisation se cherchait sous des noms divers, avec les écrits d’Emmanuel Mounier, Robert Aron, Armand Dandieu, Simone Weil et autres, elle cherchait à sortir d’une impuissance qui n’avait pas évité la crise économique, de la double menace du fascisme et du communisme stalinien, et cherchait la troisième voie. La troisième voie fut écrasée dans l’œuf par la guerre.
Aujourd’hui, il s’agit de changer de voie, d’élaborer une nouvelle voie et cela dans et par le développement de la nouvelle civilisation, qu’incarnent déjà tant de bonnes volontés de tous âges de femmes d’hommes, et qui dessine des nouvelles formes dans les oasis de vie. Mais les forces obscures et obscurantistes énormes de la barbarie froide et glacée du profit illimité qui dominent la civilisation actuelle progressent encore plus vite que les forces de salut, et nous ne savons pas encore si celles ci pourrons accélérer et amplifier leur développement. Socialisme ou barbarie disait-on autrefois ; aujourd’hui il faut comprendre l’alternative : nouvelle civilisation ou barbarie.
Nous avons identifié 3 terrains :
> RUES HENRI MARTIN / JACQUARD près de l’école Baudin
> RUES D’ESTIENNES D’ORVES / PAUL DE KOCK
> RUE BÉRANGER
Vous êtes intéressé-e par cette initiative ?
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Si le XXIe siècle ne devait retenir qu’un seul défi, ce serait celui de la survie de la biosphère face au changement climatique.
L’Unep, les entreprises du paysage, avec l’ensemble des acteurs français du paysage, réunis au sein de l’Observatoire des Villes Vertes, souhaitent interpeller les élus et décideurs publics aux niveaux local, national et international, sur le potentiel largement sous-estimé du végétal et des jardins pour adapter l’humanité aux nouvelles conditions climatiques.
A l’heure où plus de la moitié de la population mondiale est constituée de citadins, les espaces de nature en ville ont un rôle déterminant à jouer pour atténuer les effets du réchauffement planétaire ! En l’intégrant de façon systématique dans les aménagements urbains, le végétal est à même d’apporter des solutions concrètes aux principaux enjeux climatiques.
A l’échéance 2060-2100, le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC) prévoit une augmentation moyenne de la température terrestre de 4°C. De quoi multiplier les épisodes caniculaires dans la plupart des villes du globe…
Parcs, promenades plantées, murs et toitures végétales : les végétaux jouent le rôle de « climatiseurs urbains ». Généralisons-les pour abaisser la température et recréer des « îlots de fraîcheur » en ville !
Le réchauffement climatique a doublé les risques d’épisodes de pluies extrêmes à la fin du XXe siècle. Or l’étalement urbain a pour effet d’imperméabiliser les sols, ce qui empêche l’eau de ruisseler et favorise les inondations.
Les végétaux contribuent au cycle naturel de l’eau. Créons des aménagements paysagers en ville pour éviter l’érosion et accroître les surfaces de sol « perméables ». Développons des bassins de rétention qui limiteront les risques d’inondations !
Les émissions de gaz à effet de serre explosent. L’humanité a rejeté 40 milliards de tonnes de CO2 en 2013*, alors que la biosphère ne peut en absorber que 10… Le phénomène est particulièrement concentré en ville, où le trafic et les activités humaines tendent à multiplier les rejets de particules, créant des “pics de pollution”.
Les arbres ont la capacité de piéger les gaz à effet de serre : 1 m3 de bois peut stocker 1 tonne de CO2. Dans le même temps, ils filtrent les particules polluantes. Pour améliorer la qualité de l’air, suivons l’exemple des villes pionnières qui ont adopté le réflexe « 1 habitant = 1 arbre » !
22 000 espèces animales et végétales sont menacées d’extinction dans le monde, en grande partie à cause du dérèglement climatique**. La France figure parmi les 10 pays qui en hébergent le plus grand nombre. Or les parcs et même les sols des jardins et espaces verts sont des réservoirs de biodiversité qui constituent un refuge pour la faune et la flore.
L’espace urbain ne doit pas être un obstacle à la mobilité des espèces : déployons de nouvelles trames vertes et bleues, gérées sans pesticides, pour maintenir une faune et une flore riches en ville et créer des continuités écologiques !
Les entreprises, collectivités et ménages français produisent chaque année 10 millions de tonnes de déchets végétaux***. Ces résidus de tontes ou d’élagages pourraient être compostés pour produire de l’engrais, réutilisés en paillages… ou revalorisés pour produire de l’énergie sous forme de biomasse.
Privilégions les circuits-courts et revalorisons les déchets verts à l’échelle locale !
L’investissement en faveur des espaces verts ne représente qu’1 % du budget des villes Françaises en moyenne****. Comment nos cités comptent-elles répondre à l’enjeu climatique dans ces conditions ?
La communauté internationale va se réunir en décembre à Paris, pour la COP21 : le sommet climatique, où des objectifs planétaires vont être fixés afin de limiter le réchauffement à 2°C, et tenter d’en atténuer les effets.
Mesdames et messieurs les représentant(e)s de la Terre, n’oubliez pas le rôle essentiel du végétal en zones urbaines, dans l’agenda des solutions climat !
Mesdames et messieurs les élu(e)s de France, aidez-nous à préserver les villes des effets du réchauffement climatique grâce aux jardins et espaces verts !
Végétalisons nos villes, nos toits, nos murs, nos espaces oubliés. Réintroduisons de la biodiversité en ville en limitant l’utilisation des pesticides. Plantons un arbre par habitant.
En un mot : donnons corps à la « ville végétale » de demain, bioclimatique et durable !
Catherine Muller, Présidente de l’Unep – les entreprises du paysage
Emmanuel Mony, Président de l’ELCA – European Landscape Contractors
Jean-Pierre Guéneau, Président d’Hortis – les responsables d’Espaces Nature en Ville
Patricia Savin, Présidente de l’Association Orée – Entreprises, Territoires et Environnement
Christophe Béchu, Président de Plante et Cité, Maire d’Angers et Sénateur de Maine-et-Loire
François Demazières, député-maire de Versailles, Président dugroupe jardin, horticulture et paysage de l’Assemblée Nationale
Pour soutenir l’action de l’Unep – les entreprises du paysage – en faveur des jardins et espaces verts en ville et l’Observatoire des Villes Vertes, signez la pétition et faites la connaître autour de vous !
#JardinspourleClimat
*Source : Global Carbon Project
**Source : Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)
***Source : Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME)
****Source : Palmarès Unep des villes vertes de France, 2014
Belle fréquentation pour le stand du Pré en Transition !
Les nombreux (-ses) visiteurs (-euses) ont manifesté un vif intérêt aux solutions locales proposées par l’Association pour lutter contre le réchauffement climatique et encourager un mieux-vivre ensemble.
Malgré une météo légèrement capricieuse, vous avez été nombreux à venir à cette première édition de la Transition en Fête ! Merci à vous ! Cela a été l’occasion d’apprécier une rue Danton rendue aux piétons – pour la plus grande joie des enfants – et de découvrir les différents ateliers proposés.
REMERCIEMENTS :
Ville du Pré, et plus particulièrement Aline Girard, Oliver Bourgeois et toute l’équipe, Est Ensemble et l’ADEME nos soutiens.
Les AMAP le Pré Vert (Ferme de Marconville) et la Marmite sauvage, le Vélo-Manège, les Fourmis vertes, la Pêche, Emmaüs, CyclOfficine, Désiré Prunier, Gloria Massana, les associations Le Pouce vert, En attendant la lune, La Paille et le Mil, Idées à coudre, les musiciens (baroque : Leila Pradel et Sylvain Cheng ; jazz : Tom Nouvian et Alois Sandoz ; jazz manouche : Raphael et Benoit Vincent du groupe Aälma Dili) et ATTAC (pour le joli panneau).
Un grand merci aux commerçants du marché pour leur généreuse participation en légumes sans qui il n’y aurait pas eu de soupe et aux Fines Fourchettes qui nous a prêté le matériel pour les cuire !
Avec #FilTransition et #TransitionFete à suivre tout au long de la journée sur le compte Twitter du Pré en Transition
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