Voici la lettre que l’association le Pré en Transition a envoyée à Laurent Baron, maire du Pré Saint-Gervais à propos de la friche Busso.
Le Pré Saint-Gervais, le 6 mai 2020 Monsieur le Maire, Le 5 février dernier, notre association vous a adressé un recours gracieux en vue d’annuler la décision de révision du PLU du 9 décembre 2019. Avant de re-bétonner, de tout densifier et de commettre l’irréversible, nous vous demandions d’évaluer, d’expliquer et de convaincre sur la base d’une argumentation solide, où se situe vraiment l’intérêt général pour le Pré St Gervais, une ville à la fois sur-densifiée, carencée en espaces verts et surexposée à la pollution due aux microparticules. Nous vous demandions aussi de reconsidérer la révision du PLU pour permettre des discussions de propositions alternatives avec, notamment, la requalification de l’OAP Busso pour une forêt urbaine intégrale au bénéfice du cadre de vie, de la santé de tous et de la nature en ville : « … c’est un projet pour la biodiversité, un projet de microclimat qui rend la ville plus apte à s’autogérer face au changement climatique, c’est un projet d’imagination parce qu’il change notre perception de ce que peut être une ville… » Rob Hopkins le 21 septembre 2019 lors de la fête anniversaire du Pré en Transition Notre recours gracieux est resté sans réponse. Que nous vaut ce silence, déni ou mépris ? Avec plus de 3 000 signatures pour notre pétition Un poumon pour nos poumons, nous espérons qu’il s’agit moins de mépris que de déni. Cette non-réponse est d’autant plus surprenante chez un homme que la communication institutionnelle présente comme un magistrat jeune, actif, aimable et proche de ses électeurs. Mais il ne suffit pas de communiquer pour dialoguer. Un dialogue véritable invite à un examen croisé des différents points de vue dans le respect de chacun. Monsieur le Maire, quand des citoyens se mobilisent dans le respect des personnes et des règles démocratiques, ne pensez-vous pas qu’ils sont en droit d’attendre un minimum de considération avec des réponses écrites, étayées et engageantes qui puissent les rassurer sur la pertinence des choix opérés par celui qui les représente ? A fortiori quand ces orientations ont un impact sur la vie et la santé de ses administré·e·s à court, moyen et très long terme. L’origine de la pandémie du coronavirus qui nous affecte tous, rappelle durement que les vies humaines sont liées à l’ensemble du vivant sur la planète et oblige à reconsidérer la place que nous lui accordons dans l’organisation de la cité : « …l’avenir et l’existence même de l’humanité sont indissociables de son milieu naturel… » In Décision du 29 janvier 2020. Conseil Constitutionnel. Plusieurs études scientifiques ont montré que l’exposition chronique aux particules fines était un facteur aggravant des effets du coronavirus. Aux victimes de la pollution s’ajoutent donc celles du Covid 19. Ces raisons, Monsieur le Maire, confortent plus que jamais notre mobilisation pour une forêt urbaine sur Busso et toute forme d’action visant à une résilience locale. Aussi, tenions-nous à vous informer solennellement devoir exercer notre recours auprès du Tribunal administratif. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Maire, l’assurance de nos respectueuses salutations.
LA COLLÉGIALE
NB Parce que notre vision de l’avenir est résolument optimiste, nous partageons avec vous l’exemple d’expériences réussies de résilience locale, à la campagne ou en ville, ici ou ailleurs dans plus de 2 000 Villes et Territoires en Transition dans le monde et bien sûr… la conférence intégrale de Rob Hopkins tenue au Pré St Gervais.
le samedi 21 septembre 2019 dès 14h30 Préau de l’école Brossolette (rue Brossolette) au Pré Saint-Gervais
Au programme
DÈS 14H30 ANIMATIONS, EXPOS,PROJECTIONS, ATELIERS,RENCONTRES avec la participations de : RÉSEAU TRANSITION ÎLE-DE-FRANCE, LA PÊCHE MONNAIE LOCALE,LA VALSE DES VÊTEMENTS, MYSTÈRE BOUFFE, ÉLECTRONS SOLAIRES 93, EXTINCTION REBELLION, VERGERS URBAINS, RAPTZ… (voir plus bas)
16H30 TIRAGE TOMBOLA
17H30 CONFÉRENCE-DÉBAT(réservation conseillée) L’IMAGINAIRE AU SECOURS DE LA PLANÈTE Conférence-débat animée par Antoine LAGNEAU Chargé de projets Agriculture UrbaineAgence régionale de la biodiversité en Île-de-France. Avec la participation de : Serge LATOUCHE, économiste et théoriciende la décroissance Rob HOPKINS, professeur de permaculture et initiateur du mouvement des villes en transition
20H30 DÎNER À PRIX LIBRELOCAL et ZÉRO DÉCHET
21H30 TOUT LE MONDE DANSE !
Réservations conférence-débat L’imaginaire au secours de la planète
ATELIER 1 “Eco-lieux, pourquoi ? Comment ? retour d’expérience” par Magali de l’association Le Point de Bascule Dans une démarche interactive, après avoir donné des éléments clés qui définissent la notion de Point de Bascule l’atelier nous permettra de partager un retour d’expérience sur la création d’un Eco-lieu « Le collectif Point de Bascule a pour objectif d’anticiper les changement de notre civilisation et propose réflexion et action autour de l’autonomie énergétique et alimentaire, l’expérimentation de modes de vie alternatifs s’inscrivant dans la reconnexion du vivant » Le Point de Bascule ? Face au dérèglement climatique les changements d’attitude tardent à venir car certains seuils critiques globaux ne sont pas encore atteints. Cette impasse semble insurmontable, mais la notion de Point de bascule développé par Malcolm Gladwell recèle des implications très enthousiasmantes.
“Les épidémies sociales fonctionnent exactement comme les épidémies de maladies. Elles sont déclenchées par les actions d’une poignée de gens qui se distinguent nettement de la masse par leur sociabilité, leur énergie, leurs connaissances ou leur influence.” Malcolm Gladwell
ATELIER 2 “Pourquoi et comment la forêt Urbaine peut nous réparer et réconcilier l’homme et la nature en ville ?” Animé par l’association Vergers Urbains (Sébastien) et Mélanie Drevet (architecte paysagiste co-réalisatrice de la Ferme du Rail à Paris 19) Les animateurs sont des professionnels engagés dans la réhabilitation citoyenne de la nature en ville. Dans une démarche proactive ils nous conduiront dans cet atelier à réfléchir, imaginer, agir pour que nous réalisions, là où l’on est, nos projets de forêts urbaines, de corridors brun, de rues végétalisées… en nous donnant des bases pratiques, pour les réaliser. Vergers Urbains : La « ville comestible » est un concept développé par l’association Vergers Urbains depuis plus de cinq ans, à travers diverses interventions dans les espaces communs de la ville, sur l’espace public ou les espaces collectifs. L’activité de l’association a débuté au sein du quartier de la Chapelle à Paris, pour s’étende au-delà du 18ème arrondissement. Vergers Urbains compte aujourd’hui plus de soixante-dix projets à son actif : chacun questionne la place de l’agriculture et de la nature dans ces espaces communs urbains, ainsi que la place des citoyens dans la mise en valeur de leur quartier, à travers des actions participatives relevant d’un fort enjeu social. La Ferme du Rail est lauréate de l’Appel à Projets Urbains Innovants « Réinventer Paris », par la Mairie de Paris, sur la parcelle située au 2 bis rue de l’Ourcq, dans le 19ème arrondissement. Née du désir d’habitants et d’associations du quartier de voir grandir un lieu qui allie agriculture urbaine et solidarité, La Ferme du Rail vise l’insertion de personnes précarisées à qui elle fournit, une formation à des emplois adaptés, répondant aux besoins de la ville. La Ferme du rail c’est la construction d’un espace agri-urbain intégré, comprenant : • des logements : un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale de 15 logements et une résidence sociale étudiants de 5 logements • une exploitation agricole : des ateliers et une serre de production, une champignonnière et des espaces extérieurs cultivés, en permaculture, en aquaponie, en sac de culture et en agroforesterie • un restaurant : ouvert au quartier, une cuisine abordable qui s’exprime en quelques mots : « Bien manger, mieux vivre. De bons produits, des fournisseurs locaux et de l’amour ».
ATELIER 3 C.A.R.M.A où comment s’opposer de façon utile à un grand projet inutile et dévastateur : Europacity ? L’atelier sera animé par Cyril, Sylvie, Alice, Clara Le groupement de Coopération pour une Ambition Rurale et Métropolitaine Agricole (C.A.R.M.A) se réclamant de l’Économie Sociale et Solidaire. Les membres du Groupement CARMA ont déposé au mois de février leur projet phare pour le Triangle de Gonesse en cohérence avec la charte agricole de la Plaine de Frances dans le but de promouvoir une agriculture biologique de proximité au service de la population, ouvrant des possibilités locales d’emplois et débouchant sur des modes innovants et sobres de production et d’échange. Le projet CARMA est né sur le Triangle de Gonesse pour défendre ces terres agricoles et y déployer un projet de transition écologique répondant aux véritables enjeux actuels. Sur ce territoire fragile au potentiel agronomique et écologique exceptionnel, c’est le seul projet d’intérêt collectif pour la population francilienne et surtout pour les populations locales qui voient leur environnement anéanti peu à peu… Plus d’infos Contenu de l’atelier Mini débat Présentation de Carto’Carottes, la carte des projets nourriciers en Ile-de-France : jardins partagés, AMAPs, maraîchage, apiculture et élevage. La carte met aussi en avant les terres agricoles menacées (60 000 hectares disparaissent en France chaque année). En lien avec CARMA, groupement de Coopération pour une Ambition Rurale et Métropolitaine Agricole se réclamant de l’Économie Sociale et Solidaire, qui propose un projet d’avenir pour les terres fertiles du Triangle de Gonesse et de la Plaine de France. Les questions de l’autonomie alimentaire, de l’avenir des terres agricoles en Ile de France, d’un modèle reposant sur une agriculture biologique de proximité au service de la population, ouvrant des possibilités locales d’emplois et débouchant sur des modes innovants et sobres de production et d’échange, seront débattues.
ATELIER 4 Qu’est-ce-que le mouvement des Villes et Territoires en Transition ? Comment démarrer une initiative dans sa ville, sa rue, son quartier ? Comment lancer de nouvelles activités ? par Annelyse, David, Jean-Paul, David membres actifs dans le réseau des Villes et Territoires en Transition. Ils ont dans leur ville, leur quartier crée des initiatives (café coopérative alimentaire, vélo-ciné, ReparCafé, jardins partagés, échanges de pratiques, R’Economie… Ils vous donneront les ressources pour découvrir faire découvrir, connaitre, impulser, une rue, un quartier, une ville, un territoire pour une transition vers un plan de résilience locale Et vous feront part de leurs expériences locales pour lancer de nouvelles activités : RepairCafé, un atelier vélo, une AMAP, un atelier Cosmétiques naturels, un atelier méditation, un Café de la Transition, … Pour le mouvement des villes en Transition initié par Rob Hopkins voir le film sur youtube Transition et le site http://www.entransition.fr
ATELIER 5 A quoi sert une monnaie locale, comment la mettre en œuvre et la faire circuler ? Marc Abel présentera la monnaie créée à Montreuil la Pêche, qui s’échange dans de nombreuses villes de l’est parisiens (au Pré Saint Gervais aussi !) et depuis l’an passé à Paris. Il nous expliquera les enjeux écologiques, sociaux et de citoyenneté des monnaies complémentaires. Avec des documents à l’appui les échanges lors de l’atelier nous amèneront à construire une réflexion collective sur notre capacité à produire et diffuser ces monnaies pour atteindre… le Point de Bascule ! La monnaie locale est une solution locale pour répondre au désordre global : crise économique, crise écologique, crise politique. Elle est un outil de transformation sociétale, qui permet : d’encourager l’économie réelle et locale, de réduire notre empreinte écologique, de combattre la spéculation et les paradis fiscaux. Plus d’infos
LE CINÉ AU SECOURS DE LA PLANÈTE Une heure de courts-métrages autour de la thématique « l’imaginaire au secours de la planète » ou comment la fiction tente de s’emparer des questions environnementales et sociales. Qu’ils soient drôle, graves, poétiques, engagés, ou tout ça à la fois, ces 12 films courts ne vous laisseront pas indifférents ! 2 séances – 15h puis 16h15, chacune suivie d’une rencontre avec les réalisateurs. « En partenariat avec Imago »
LA VALSE DES VÊTEMENTS C’est une action citoyenne qui prône la décroissance. En expliquant que la surproduction est à l’origine d’exploitation humaine (condition de travail des salariés, mise en danger des populations), de la pollution et l’épuisement des ressources des terriens. Elle informe des risques pris en achetant des vêtements de première main qui contiennent des produits toxiques. Les propos sont documentés. Les vêtements mis à disposition lors de manifestations étaient au début des rebuts de marché destinés à être incinérés, alors qu’ils sont en bon état. Ils viennent encore des marchés mais aussi de fin de brocante ou de dons de particuliers. Le projet est en solidarité avec le vivant, Plus d’infos
RÉSISTANCE CLIMATIQUE Résistance Climatique, c’est un mode d’emploi de cohérence personnelle et collective pour créer un monde post pétrole. Nous sommes convaincus que le changement climatique et l’effondrement de la biodiversité ne sont pas des fatalités. Nous les avons créés. Nous pouvons y mettre fin. En modifiant radicalement nos modes de vie et de fonctionnement dans les 5 prochaines années au plus tard, nous pouvons inverser la tendance. Nous pouvons construire des sociétés prospères et heureuses en consommant dix fois moins d’énergie et ainsi « sauver » le climat, la biodiversité, restaurer la justice et la paix. Plus d’infos
Une fête pour les 5 ans de l’association le Pré en Transition Samedi 21 septembre 2019 dès 14h30
Des animations, expos, ateliers, rencontres… une tombola, une conférence-débat animée par Antoine Lagneau avec Serge Latouche et Rob Hopkins, un dîner à prix-libre et de la musique…
À l’invitation de l’association le Pré en Transition, le Paris Sans Voiture 2019 commencera son périple du Pré Saint-Gervais. Rendez-vous le dimanche 22 septembre à 11 h devant la Mairie du Pré Saint-Gervais. Vélos, patinettes, et tout engin roulant sans moteur-pollueur produit de votre imagination seront les bienvenus.
Jean-Marie Albaret était arboriculteur dans la vallée du Tarn. Gravement malade, il a dû vendre ses terres. Il nous alerte.
« Arboriculteur à la retraite, je suis aujourd’hui atteint de maladie neurodégénérative. Persuadé que celle-ci est liée à l’utilisation de produits phytosanitaires utilisés durant ma carrière, entre autre le diméthoate pour ne citer que lui et qui me condamne au fauteuil roulant. Produit vendu, conseillé par nos techniciens et approuvé par le gouvernement. Son usage est passé d’une semaine avant récolte à 15 jours avant récolte puis à un mois avant d’être définitivement interdit pour son usage neurotoxique enfin reconnu. Double peine pour les agriculteurs qui subissent la maladie et le regard désapprobateur de la population. Ne faudrait-il pas à ce jour trouver des alternatives bio pour sauver de la dangerosité, les récoltes, les agriculteurs et les consommateurs. Je voudrais mettre en garde mes collègues paysans utilisateurs de produit phytosanitaires sur la dangerosité possible pour eux, leur proche et la population dans un périmètre de 8 kilomètres à la ronde. Avoir perdu la santé pour gagner sa vie en faisant confiance aux techniciens, aux lobbies et aux gouvernements est pour moi insupportable. Amis paysans ne vous laissez pas prendre au piège d’une pseudo-information qui n’est faite que pour le profit et qui TUE. Restez vigilants pour vous, vos proches et la survie de la Terre »
jean-marie albaret
« On ne sapera le capitalisme qu’en lui opposant une merveilleuse alternative »
Interview de Rob Hopkins paru sur le site Usbek & Rica.
(…)
L’imaginaire du capitalisme est aujourd’hui très puissant. Avec la promesse fortement ancrée d’une consommation exponentielle de biens et services pour les consommateurs. Comment stimuler une nouvelle forme d’imagination ? Les gens sont fatigués, effrayés, las et en manque d’inspiration. Mon analyse est que nous vivons une crise de l’imagination. Notre système éducatif ne produit pas des gens qui soient imaginatifs. Il l’a peut-être fait mais plus maintenant. L’économie mondiale est en guerre contre l’imagination, elle crée de la solitude, de l’anxiété et du stress chez les gens, qui ne pensent plus qu’en tant que consommateurs. Nous passons de moins en moins de temps dans la nature. L’impact des smartphones et des réseaux sociaux est aussi très fort sur l’imagination.
À l’invitation de l’association le Pré en Transition, le Paris Sans Voiture 2019 commencerason périple du Pré Saint-Gervais. Rendez-vous le dimanche 22 septembre à 11 h devant la Mairie du Pré Saint-Gervais. Vélos, patinettes, et tout engin roulant sans moteur-pollueur produit de votre imaginationseront les bienvenus.
Départ à 11h de la Mairie du Pré-Saint-Gervais en compagnie de Rob Hopkins !
Nous allons parcourir Paris en vélos customisés en vélovoitures, en tandems, vélo cargos et plein d’autres bolides 100% écolo et sans moteur ! Arrivée prévue à Quartier Libre vers 13h pour un grand pique-nique zéro-déchet !
Dans un contexte de réchauffement climatique (+5°C d’ici la fin du siècle), de chute de la biodiversité (6e grande extinction) et d’une forte dépendance aux énergies fossiles, et dans la perspective d’un effondrement généralisé de nos sociétés, les villes sont particulièrement vulnérables. Certaines grandes villes travaillent déjà à un plan de résilience pour anticiper, s’adapter et faire face aux chocs à venir. Aussi, proposons-nous la création d’un Plan de résilience locale pour la ville du Pré Saint-Gervais.
Pour initier cette démarche, nous avons travailler autour de 5 grandes thématiques :
COMPRENDRE : un cour public autour des conséquences du réchauffement climatique
CONNECTER (nature>ville) : la végétalisation en pleine-terre de trottoirs (favoriser la biodiversité, créer des îlots de fraicheur et favoriser le ruissellement des eaux de pluie)
NOURRIR : une implication de la ville dans le projet CARMA pour l’exploitation et le maintien des terres fertiles sur le triangle de Gonesse
RALENTIR : un plan-vélo sur la ville pour favoriser le recours à ce moyen de transport
RESPIRER : un jardin-forêt sur la parcelle Busso pour créer un poumon (lutte contre la pollution, îlot de fraicheur, biodiversité, gestion eaux de ruissellement…)
Document de travail produit par les membres de l’association à l’occasion d’une rencontre avec Gérard Cosme, le Maire du Pré Saint Gervais.
Vendredi 18 mai à 19h30
salle Danton
autour d’un apéritif dînatoire
le Pré en Transition
organise une projection de
TRANSITION 2.0
(50 minutes)
sur le sens du mouvement international des Villes et Territoires en Transition et les actions
pour faire face au dérèglement climatique
Ce documentaire nous montre comment combiner les sages enseignements de la permaculture, redécouvrir les capacités de chacun, réhabiliter la débrouillardise et les savoirs anciens, retrouver le sens du commun et la joie du vivre-ensemble… bref, comment tisser ensemble ici, maintenant et avec enthousiasme les conditions de résilience pour notre avenir et celui de nos enfants.
Jardins partagés, AMAP, monnaie locale, repair café, fêtes de rue… ces initiatives, lancées au Pré, participent déjà, chacune à sa façon, à cet intérêt commun. Nous avons très envie de partager ce moment de convivialité et d’imaginer grâce à ce film comment continuer avec vous ces belles actions concrètes et réjouissantes.
Le Pré-Saint-Gervais en Transition.
Nous sommes une Association gervaisienne liée au Mouvement des Villes et Territoires en Transition répondant au défi du dérèglement climatique dans un contexte de dépendance aux énergies fossiles.
Membre du Réseau Transition France
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JARDIN PARTAGE RUE PAUL DE KOCK
Le jardin Divers, un jardin pour apprendre le compostage, le paillage, la résilience, semer, échanger, soigner, se régaler….
Venez nous y rencontrer les samedi après-midi des semaines paires selon la météo. Partage, pédagogie, convivialité au programme. Permanences en mars :
samedi 6 avril 14h
samedi 20 avril 14h
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