samedi 30 septembre 2017
de 10h à 17h
Square Edmond-Pépin
au Pré Saint-Gervais
Buffet à prix libre, Tombola gratuite, jeux pour enfants, atelier bricolage, jardin, cuisine, vélo, concerts, monnaie locale, conférences et échanges…
Sous le signe de la BONNE HUMEUR !
Retrouvez de nombreuses associations présentes ce jour-là autour de grandes thématiques :
Vous êtes venus nombreux, ce samedi 25 février, pour découvrir ou redécouvrir, dans la rue du 14 juillet, ce petit coin de poésie: LaFleuren Coton. Tandis que les enfants nourrissaient les vers du compost ou composaient la fresque florale, les parents ou grands-parents échangeaient leurs euros enPêches, avant de choisir un bouquet à offrir.
OÙ PUIS-JE AVOIR DES PÊCHES ?
Tous les samedis de 11h à 12h au point de compost square Edmond Pépin.
OÙ PUIS-JE DÉPENSER MES PÊCHES AU PRÉ ?
Librairie «Temps-livres» (86 rue André Joineau)
Imprimerie Univercom (38 rue d’Estienne d’Orves)
Kiosque Presse (près du square Edmond-Pépin)
Charcutier-traiteur : Maison Remande (74 rue André Joineau)
La Pêche, monnaie locale complémentaire, est née à Montreuil en 2014. Son principe est très simple, 1 Pêche = 1 Euro.
Elle a été lancée au Pré Saint-Gervais le samedi 1 er octobre à l’initiative du Pré en Transition, lors de la deuxième Fête de la Transition. Les premières Pêches du Pré ont été gagnées par tirage au sort lors de la tombola où dix heureux gagnants sont repartis avec 20 Pêches en poche ! Dans cette même journée festive, de nombreux gervaisiens se sont rendus sur le stand de La Pêche pour y échanger leurs premiers euros contre leurs premières Pêches. 97 % des euros échangés ont été placés dans une banque solidaire, la Nef, 3 % ont été versés au profit d’une association choisie par chaque nouvel adhérent.
Locale, solidaire, citoyenne et écologique, une monnaie locale complémentaire stimule les échanges locaux, encourage l’économie réelle, échappe aux dérives des marchés financiers internationaux et contribue à réduire les émissions de gaz à effet de serre en privilégiant les circuits courts. Payer en Pêche nous invite à réfléchir sur la nature de nos échanges.
À date, plus de 400 Pêches en coupons-billets de 1,2,5,10, 20 ou 50 Pêches, sont prêtes à être dépensées localement au profit des commerçants du Pré.
Les quatre premiers commerçants à avoir adhéré à La Pêche sont :
le libraire de Temps-livres (86 rue André Joineau)
le kiosquier, Monsieur Ratier, près du square Edmon-Pépin
le charcutier-traiteur Maison Remande (74 rue André Joineau)
le boulanger-pâtissier de la Boulangerie du Marché (70 rue André Joineau)
« Donnons du sens à nos échanges » vous retrouverez le slogan de la monnaie locale la Pêche sur le macaron indiquant sa présence dans leurs magasins.
Pour obtenir des Pêches, le Pré en Transition vous donnera régulièrement rendez-vous au point de compostage du square Guillaume Pépin autour d’un café.
Production de l’exploitation maraîchère bio de 8 hectares créée en 2012 par la municipalité d’Ungersheim (Haut-Rhin). Mairie d’Ungersheim
Un marché se tient désormais à Ungersheim, commune de 2 200 habitants du Haut-Rhin, située à une vingtaine de kilomètres de Mulhouse. Aucun contemporain, même d’un certain âge, n’a le souvenir ici qu’il y ait eu par le passé quelques étals dans le village un jour de semaine. Mais dorénavant, tous les vendredis matin, les Jardins du Trèfle rouge, entreprise maraîchère en activité sur la commune depuis 2012, la toute jeune conserverie locale ainsi qu’un marchand d’œufs du cru exposent et vendent leur production sur la place de la mairie.
Assurer la souveraineté alimentaire de la commune, en créant une filière locale « de la graine à l’assiette », autrement dit en proposant aux villageois des aliments produits localement : c’est l’objectif poursuivi depuis quatre ans par la municipalité d’Ungersheim. « Aujourd’hui, la nourriture que nous consommons, venant de centaines, voire de milliers de kilomètres, est essentiellement livrée par camion. Or en cas de choc, pétrolier notamment, nous pourrions nous trouver rapidement en situation de pénurie. Alors même que nous sommes entourés d’une centaine d’hectares de terres agricoles, mais vouées à des monocultures de maïs ou de céréales, destinées à l’exportation », explique son maire, Jean-Claude Mensch.
Légumes bio et de saison
Déterminé à mettre un terme à ce « grand paradoxe », le conseil municipal décide, en 2012, d’utiliser une partie des 40 hectares agricoles sur lesquels il a la maîtrise foncière, pour contribuer à nourrir la population. Il commence par racheter le droit d’exploitation agricole sur un terrain de 8 hectares, loué jusque-là à un céréalier, et y installe une exploitation maraîchère bio, les Jardins du Trèfle rouge, gérée par une entreprise d’insertion. Employant 25 personnes, celle-ci produit aujourd’hui une trentaine de tonnes de légumes de saison par an (soit une centaine de variétés sur toute l’année). Elle propose non seulement sa production chaque vendredi au marché, mais confectionne deux fois par semaine quelque 150 paniers de légumes, vendus aux ménages du village et des alentours, et fournit chaque jour en nourriture la cantine de l’école du village.
Car si la municipalité a décidé dès 2009 de servir aux élèves des repas et goûters 100 % bio en faisant alors appel à un prestataire extérieur – et en prenant en charge le surcoût –, elle entend désormais que ces repas soient réalisés sur place avec des produits locaux. Pour cela, elle a construit une cuisine collective bio, certifiée Ecocert. Opérationnelle depuis le printemps 2014, cette installation prépare aujourd’hui quelque 500 repas par jour et assure l’approvisionnement de la restauration scolaire du village, mais également, dans un rayon de quinze minutes de transport en liaison froide et chaude, d’autres écoles. « Ce afin d’assurer l’équilibre économique, souligne M. Mensch. Mais, ajoute-t-il aussitôt, cette cuisine reste une petite unité de production à taille humaine. »
Bien décidée à élargir la distribution de produits alimentaires en circuits courts, la municipalité a créé en avril 2015 une régie agricole et est en train de monter une coopérative d’intérêt collectif qui a vocation à faire tourner une conserverie, une malterie microbrasserie et une épicerie spécialisée dans la vente en vrac, où le client apporte ses contenants et peut acheter le juste poids de produit dont il a besoin.
Le Pré-Saint-Gervais en Transition.
Nous sommes une Association gervaisienne liée au Mouvement des Villes et Territoires en Transition répondant au défi du dérèglement climatique dans un contexte de dépendance aux énergies fossiles.
Membre du Réseau Transition France
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